"M. Amano vient à l'invitation de l'Iran. La durée de l'accord nucléaire est de huit ans mais nous voulons réduire cette période et cela est possible avec l'aide de l'Agence", a déclaré Behrouz Kamalvandi, le porte-parole de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique.
M. Kamalvandi fait référence à une clause de l'accord nucléaire qui prévoit une période de huit ans pendant laquelle l'Iran limite son programme nucléaire.
Selon l'accord, la seconde étape s'ouvrira dans huit ans vers 2023. Mais l'accord prévoit que si l'AIEA certifie plus tôt, par exemple dans cinq ans ou six ans, le caractère toujours pacifique des activités nucléaires iraniennes, cette période de huit ans est écourtée d'autant.
Cela est important pour l'Iran, car si l'AIEA publie son rapport plus tôt, l'Iran pourra démarrer certaines de ses activités nucléaires plus tôt également.
De plus, d'autres sanctions américaines et européennes notamment sur les biens à double usage; les softwares, le transport des biens et technologies couverts par la liste militaire européenne; les armes, ou encore des sanctions individuelles pourront encore être levées plus rapidement.
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