Antonio De Oliveira Basto avait 52 ans. D'origine portugaise, il était marié à une française habitant avec lui en Seine-Maritime. Le couple avait un petit garçon de 6 ans, ils habitaient à Bosc-Hyons, près de Gournay-en-Bray.
Mort au café Capuccino
Il est tombé sous les balles des terroristes vendredi soir, au café Capuccino de Ouagadougou en fâce du "Splendid Hôtel" (photo), aux côtés de ses deux collègues.
Antonio Basto travaillait pour Scales, spécialisée dans les transports exceptionnels et basée à Saint-Ouen-l'Aumône (Val d'Oise).
Il vivait depuis plusieurs années en France.
L'ambassade a prévenu son épouse
La femme d'Antonio Basto s'est confiée à nos confrères d'Europe 1 «Je l'ai eu au téléphone hier et il me disait qu'il allait aller manger au restaurant. Il était content parce qu'il prenait l'avion pour rentrer à la maison», raconte-t-elle. «Vers 6h du soir l'ambassade m'a appelée et m'a annoncée sa mort assez brutalement, en me disant que ça avait été un vrai carnage.» «C'est l'horreur», confie-t-elle à Europe 1.
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