"Si le tribunal ne retenait pas la première poursuite (pour aide au séjour illégal), il devrait retenir celle de mise en danger de la vie d'autrui", sanctionnée par une peine de 1.000 euros d'amende, a estimé le procureur de Boulogne sur mer, Jean-Pierre Valensi. "Parce que la fin ne justifie pas les moyens. Ce n'est pas parce qu'on veut aider une enfant qu'on peut l'aider en mettant sa vie en danger", a-t-il ajouté.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousA lire aussi
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.