Le tribunal correctionnel a notamment estimé que Pascal Bonnefoy n'avait "à aucun moment bénéficié des enregistrements" effectués à l'insu de sa patronne, en 2009 et 2010, et qu'il avait remis ensuite à la fille de la milliardaire. Cet "acte socialement utile" répondait à la nécessité de protéger son employeur, a jugé le président Denis Roucou.
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