"C'était tout simplement extraordinaire. Quand vous accueillez des chefs d'Etat, c'est encore un autre niveau par rapport aux sommets politiques déjà accueillis", a ainsi soutenu Jacqiues belin, directeur du centre international de Deauville, peut après avoir dit au revoir aux dernières délégations.
L'hôtellerie fait partie des secteurs qui auront tiré un large profit de cet événement, tout comme les bénéficiaires d'emplois directs. "Au CID nous avons fait travailler près de 500 personnes pendant trois jours", a-t-il tenu à souligner.
Retour à la normale
Aucun incident n'est venu gâché ce sommet. Deauville a rapidement retrouvé son visage habituel, dès la fin d'après midi, même si quelques installations prendront plus de temps à être démontées, comme c'est le cas pour l'immense salle de presse sur l'hipodrome qui a accueilli jusqu'à 3 000 journalistes. Il lui faudra 15 jours pour ne laisser aucune traces.
"C'était carrément grandiose d'avoir 18 chefs d'Etat, des chefs de délégation comme ceux de la banque mondiale, du FMI ou de l'ONU. Le centre de congrès est à côté des planches, de la mer, des casinos... ce qui comme souvent a été grandement apprécié. C'était formidable de voir Barack Obama ce matin arrivant les mains dans les poches, accompagné d'une petite délégation", se souvient Jacques Belin. Des images qu'il gardera longtemps en mémoire.
Ecoutez sa réaction dans notre lecteur audio ci-dessus...
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