En fait, ce dernier est régulièrement employé dans le magasin de bricolage qui appartient à ses parents et a eu l’idée d’éditer de fausses cartes de fidélité. “Propriétaire” de milliers de points de fidélité, sous des noms d’emprunt ou fantaisistes, il parvient à se faire créditer des avoirs. Avec, il achète des marchandises qu’il remet ensuite dans les stocks du magasin de ses parents. Le pot aux roses finit par être découvert, mais au bout de plusieurs années !
30 000 ¤ d’amende
A l’audience, le ministère public réclame, au nom de la société, un emprisonnement avec sursis symbolique, 50 000 ¤ d’amende et une interdiction de gérer quelque société que ce soit.
L’avocat du prévenu, argue que son client n’a jamais commis d’autre infraction de sa vie et qu’il dirige aujourd’hui une autre société, “le plus honnêtement du monde”. Le tribunal a finalement condamné le prévenu à six mois d’emprisonnement avec sursis ainsi qu’à 30 000 ¤ d’amende. Celui-ci n’a toutefois pas eu d’interdiction de gérer.
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