C'est l'union de la droite et du centre qui tire son épingle du jeu, en affichant à la nouvelle assemblée régionale douze personnalités politiques issus du Calvados. Parmi eux, le maire Modem d'Hérouville Saint-Clair, Rodolphe Thomas, par ailleurs premier vice-président de l'agglomération Caen la mer et conseiller départemental en exercice. Celle qui a fait la campagne à ses côtés a aussi hérité d'un siège : Sophie Gaugain (Les Républicains) est elle maire de Dozulé et conseillère régionale sortante. Autres figures connues des Calvadosiens, le maire centriste de Bayeux, Patrick Gomont, et l'adjointe à la Culture à la mairie de Caen, Emmanuelle Dormoy (Les Républicains).
Six élus calvadosiens appartiennent à l'union de la gauche. On compte par exemple Raphaël Chauvois (Parti socialiste), conseiller municipal d'opposition à Ouistreham et conseiller régional sortant. Autre socialiste, Hélène Mialon-Burgat, la maire de Mondeville, également conseillère bas-normande sortante. Ils faisaient alliance avec les écologistes et le Front de gauche pour ce second tour : Caroline Amiel, qui ne siège encore dans aucune instance politique, représentera le premier mouvement, Marie-Jeanne Gobert, conseillère régionale sortante et vice-président en charges de la jeunesse et des sports, le deuxième.
Enfin, on comptera dans les rangs du Front National quatre élus du Calvados, dont la responsable départementale du parti Christelle Lechevallier, qui devait être conseillère municipale d'opposition à Giberville avant d'être destituée par le tribunal administratif de Caen suite à des "manœuvres électorales".
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