Le constructeur automobile japonais Nissan et le gouvernement français sont parvenus à un "accord de stabilisation" encadrant l'influence de l'Etat français au sein du groupe au losange, a annoncé ce dernier dans un communiqué vendredi.
Cet accord, obtenu après huit mois de crise entre les deux plus importants actionnaires de l'entreprise automobile française, maintient les droits de vote double de l'Etat, l'une des pommes de discorde, mais établit aussi un contrat prévoyant leur plafonnement dans certains cas, a précisé Renault à l'issue d'un Conseil d'administration.
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