Un territoire plus grand : c'est avec cette réalité que les nouveaux conseillers régionaux élus en décembre prochain devront composer. Aujourd'hui, il n'y a plus de doute. La Préfecture de région sera à Rouen. Quid de la capitale politique ? Où siégera l'assemblée plénière?
« Au nom de l'équilibre, à Caen », a indiqué Hervé Morin, candidat pour la liste d'union du centre et de la droite. « Il y a les services et il y a les élus », a évoqué Nicolas Mayer-Rossignol, candidat PS-PRG. Évoquant l'amendement Tourret, du nom du député du bocage virois, celui a précisé : « Si la Préfecture est à Rouen, les élus siégeront à Caen. » Un choix partagé par Nicolas Bay, pour le Front national mais aussi par Yanic Soubien (Normandie Ecologiste) : « Caen, parce que le Mont Saint-Michel, ça n'est pas possible », a d'ailleurs ironisé ce dernier.
« Le principal, c'est qu'il n'y ait pas de suppression de postes », a martelé Pascal Le Manach, pour Lutte Ouvrière, sans se prononcer sur Caen ou Rouen. Sébastien Jumel, représentant du Front de Gauche, n'a pas non plus apporter une réponse précise à cette question.
Enfin, Jean-Christophe Loutre, pour l'UPR, préconise lui un « référendum d'initiative citoyenne ».
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