A peine plus longue (+ 2 cm) et plus basse (- 2 cm) que sa devancière, ses nouvelles proportions lui donnent une partie de son élan visuel, et l'impression d'un allongement plus conséquent.
Un bel élan visuel
Globalement spacieux, l'habitacle découvre un aménagement intérieur soigneusement traité, d'où transpire aussi une belle perception de qualité. En filigrane d'une planche de bord à l'allure plaisamment futuriste, l'ergonomie est aussi de la partie, avec des espaces de rangement dignes de ce nom et un poste de conduite agréable, avec assise abaissée, volant réglable et commandes bien sous la main.
Alerte de fatigue conducteur, détecteur d'angle mort, lecture des panneaux de signalisation, anticollision urbaine, régulateur de vitesse adaptatif... sont à portée de portefeuille.
Bâtie sur la plate-forme du C-Max, la Focus a ses trains de roulement bardés d'une électronique apte à valoriser l'expression des moteurs par des trajectoires sous contrôle. Le choix des moteurs est large, avec 4 blocs essence de 105 ch à 182 ch, et 4 diesel de 95 ch à 163 ch. Et un Auto Start-Stop de série sur les motorisations 1,6 l., essence et diesel.
Moins cher que le meilleur diesel 2.0 TDCi, le 1.6i EcoBoost SCTi 180 ch enchante facilement par son punch mâtiné de douceur. Précise mais tirant long, sa boîte 6 vitesses n'écorne pas trop la conso (9,1 l./100 en cravachant un peu). Le diesel de 163 ch n'est pas loin mais son poids accru sur le train avant ternit d'un poil le stupéfiant équilibre comportemental de cette compacte vraiment équilibrée. Exclusive aux diesel, la BVA 6 Powershift à double embrayage agrémente l'attelage, en dépit d'un mode manuel davantage au goût américain qu'au nôtre, avec un bouton à manipuler sur le pommeau. Dans tous les cas, la suspension s'avère confortable et l'insonorisation haut de gamme, y compris en filtration des vibrations.
Prix : De 18 850 € (1.6, 105 ch Trend) à 27 600 € (2.0 TDCi 163 ch Titanium).
REPERES
Trois carrosseries : La Focus apparaît d'emblée sous deux carrosseries, 5 portes avec hayon, mais aussi berline conventionnelle 4 portes avec coffre. Un break SW arrivera à la fin du printemps prochain. La 3 portes n'est pas remplacée.
Traits d'originalité : Sur la dernière Focus, les aiguilles des compteurs sont teintées bleu ciel. C'est inhabituel, joli à l'il, mais la lisibilité n'en sort pas forcément améliorée ! En 2012, une version à propulsion électrique sera lancée.
Un défi : Contrairement aux autres voitures vendues sur plusieurs continents, la Focus 3 a été conçue pour être homologuée partout sans modification structurelle. Ce qui implique parfois des solutions plus coûteuses, à l'instar du pied milieu qui répond aux normes américaines, les plus sévères.
Verdict : 16/20
Sécurité ****
Finition ****
Confort ****
Economie d'usage ***
Séduction/Prix ***
Un bel élan visuel
Globalement spacieux, l'habitacle découvre un aménagement intérieur soigneusement traité, d'où transpire aussi une belle perception de qualité. En filigrane d'une planche de bord à l'allure plaisamment futuriste, l'ergonomie est aussi de la partie, avec des espaces de rangement dignes de ce nom et un poste de conduite agréable, avec assise abaissée, volant réglable et commandes bien sous la main.
Alerte de fatigue conducteur, détecteur d'angle mort, lecture des panneaux de signalisation, anticollision urbaine, régulateur de vitesse adaptatif... sont à portée de portefeuille.
Bâtie sur la plate-forme du C-Max, la Focus a ses trains de roulement bardés d'une électronique apte à valoriser l'expression des moteurs par des trajectoires sous contrôle. Le choix des moteurs est large, avec 4 blocs essence de 105 ch à 182 ch, et 4 diesel de 95 ch à 163 ch. Et un Auto Start-Stop de série sur les motorisations 1,6 l., essence et diesel.
Moins cher que le meilleur diesel 2.0 TDCi, le 1.6i EcoBoost SCTi 180 ch enchante facilement par son punch mâtiné de douceur. Précise mais tirant long, sa boîte 6 vitesses n'écorne pas trop la conso (9,1 l./100 en cravachant un peu). Le diesel de 163 ch n'est pas loin mais son poids accru sur le train avant ternit d'un poil le stupéfiant équilibre comportemental de cette compacte vraiment équilibrée. Exclusive aux diesel, la BVA 6 Powershift à double embrayage agrémente l'attelage, en dépit d'un mode manuel davantage au goût américain qu'au nôtre, avec un bouton à manipuler sur le pommeau. Dans tous les cas, la suspension s'avère confortable et l'insonorisation haut de gamme, y compris en filtration des vibrations.
Prix : De 18 850 € (1.6, 105 ch Trend) à 27 600 € (2.0 TDCi 163 ch Titanium).
REPERES
Trois carrosseries : La Focus apparaît d'emblée sous deux carrosseries, 5 portes avec hayon, mais aussi berline conventionnelle 4 portes avec coffre. Un break SW arrivera à la fin du printemps prochain. La 3 portes n'est pas remplacée.
Traits d'originalité : Sur la dernière Focus, les aiguilles des compteurs sont teintées bleu ciel. C'est inhabituel, joli à l'il, mais la lisibilité n'en sort pas forcément améliorée ! En 2012, une version à propulsion électrique sera lancée.
Un défi : Contrairement aux autres voitures vendues sur plusieurs continents, la Focus 3 a été conçue pour être homologuée partout sans modification structurelle. Ce qui implique parfois des solutions plus coûteuses, à l'instar du pied milieu qui répond aux normes américaines, les plus sévères.
Verdict : 16/20
Sécurité ****
Finition ****
Confort ****
Economie d'usage ***
Séduction/Prix ***
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