D'où la sortie de la CT 200h, son plus petit modèle. Mais plutôt que de jouer sur la fibre du brio comportemental qui caractérise ses rivales, Lexus a choisi l'alternative de la technologie hybride pour les affronter avec l'atout d'une économie d'usage et de très faibles émissions de CO2. Un positionnement habile, d'autant que pour réussir son coup, Lexus a repris tout l'ensemble propulseur de l'illustre Prius 3 de Toyota.
Luxe et bilan carbone favorable
La carrosserie 5 portes affirme clairement la personnalité Lexus, avec un traitement original des glaces de custode et les volumes très sculptés de la poupe. La cellule de vie distille un certain luxe : grand écran central rétractable commandé par une souris de type ordinateur, instrumentation rétro-éclairée, large console centrale, etc. Trois niveaux de finition en rehaussent un équipement déjà fourni en base. Sans pour autant occulter les aspects pratiques, avec des espaces de rangement en nombre suffisant et un coffre correct et à double fond. Mais face aux très bons sièges avant, l'habitabilité des places arrière et leur accessibilité sont hélas moins bien vues.
Pour apprécier la CT 200h au volant, mieux vaut savoir renoncer à peser sur le champignon ! Certes, son mode sport fait parler toute la cavalerie, mais hormis quelques exceptions, à quoi bon ? Inversement, le mode éco transforme l'auto en veau, comme si l'on tirait une caravane. Le meilleur compromis revient donc au mode normal, avec des poussées d'origine électrique suffisantes pour stabiliser la consommation autour des 6 l./100. La conduite ne manque pas de velouté, mais pèche cependant par l'insuffisance de son amortissement, et l'imprécision de sa direction.
Sans détrôner les reines de la route que sont les premium allemandes, la Lexus CT 200h n'en est pas moins la princesse de l'économie d'usage.
Prix : de 29 000 euros (Emotion) à 42 000 euros (Passion).
Luxe et bilan carbone favorable
La carrosserie 5 portes affirme clairement la personnalité Lexus, avec un traitement original des glaces de custode et les volumes très sculptés de la poupe. La cellule de vie distille un certain luxe : grand écran central rétractable commandé par une souris de type ordinateur, instrumentation rétro-éclairée, large console centrale, etc. Trois niveaux de finition en rehaussent un équipement déjà fourni en base. Sans pour autant occulter les aspects pratiques, avec des espaces de rangement en nombre suffisant et un coffre correct et à double fond. Mais face aux très bons sièges avant, l'habitabilité des places arrière et leur accessibilité sont hélas moins bien vues.
Pour apprécier la CT 200h au volant, mieux vaut savoir renoncer à peser sur le champignon ! Certes, son mode sport fait parler toute la cavalerie, mais hormis quelques exceptions, à quoi bon ? Inversement, le mode éco transforme l'auto en veau, comme si l'on tirait une caravane. Le meilleur compromis revient donc au mode normal, avec des poussées d'origine électrique suffisantes pour stabiliser la consommation autour des 6 l./100. La conduite ne manque pas de velouté, mais pèche cependant par l'insuffisance de son amortissement, et l'imprécision de sa direction.
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