Le procureur a réclamé mardi la relaxe pour Marine Le Pen, jugée à Lyon pour avoir comparé les prières de rue à l'Occupation nazie, estimant qu'elle parlait "d'un certain nombre de personnes" et non "pas de toute la communauté" musulmane.
"Mme Le Pen, en dénonçant ces prières dans l?espace public, imputables non à l'ensemble de la communauté musulmane, mais a une minorité, n'a fait qu?exercer sa liberté d'expression", a argumenté Bernard Reynaud.
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