Michel Platini admet que le versement controversé de 1,8 million d'euros que lui a fait le président de la Fifa Joseph Blatter en 2011 ne procède pas d'un contrat écrit, mais d'un accord "d'homme à homme", dans une interview au Monde lundi.
"De toute manière, j'ai appris depuis qu'en droit suisse, un contrat oral vaut comme un contrat écrit", poursuit le président de l'UEFA. Le Français sous-entend en outre que Blatter est à l'origine des révélations sur ce versement, qui a valu aux deux hommes leur suspension de 90 jours par la Fifa: "Même s'il veut me tuer politiquement, je garde un peu d'affection pour ce que nous avons vécu ensemble".
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