Il en fut ainsi pour Maimouna (photo), une petite Malienne de 11 ans, opérée le 29 mars et repartie depuis.
Un choix douloureux
Gérard Babatasi rappelle toujours le terrible choix auquel sont confrontés tous les maillons de la chaîne : “L’exactitude du diagnostic de l’enfant malade dans son pays est essentiel, car il faut que nous soyons certains d’avoir une chance de le sauver rapidement une fois arrivé en France. Un cas trop désespéré entraînant le décès ou une hospitalisation trop longue empêchent d’autres enfants de bénéficier de ce programme et donc d’être sauvés”. Et la liste d’attente est longue.
En plus des patients reçus à Caen, les deux chirurgiens se rendent à l’étranger (Afrique, Afghanistan) pour opérer, mais aussi pour former leurs confrères. Le centre de Phnom Penh au Cambodge est ainsi devenu totalement indépendant. Leur rêve est de voir cet exemple se multiplier.
Pour faire un don : http://www.chainedelespoir.org/
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