La seule pénalité de Cindy Reynaud en début de match n'aura pas pesé lourd face aux six essais de l'USAP. « On a mis une mi-temps à entrer dans le match, déplore Gilles Rabier, co-entraîneur de l'Ovalie Caennaise. On a un peu joué la peur au ventre.» Amoindri par les absences, Caen s'est réveillé dans la dernière demi-heure, faisant même jeu égal avec son adversaire. Trop tard.
La sixième place en question
« On ne va pas se tromper de lièvre, tempère Gilles Rabier. Les matchs importants sont les quatre qui arrivent, qui sont largement à notre portée. » Néanmoins, ce test à l'autre bout de la France a marqué les organismes autant que les têtes. « Il montre tout le travail qu'il reste à faire pour retrouver le haut du tableau. » Nul doute que Caen, qui est loin d'avoir assuré sa sixième place, n'aura pas la tâche si difficile dimanche 10 avril au stade Hélitas devant Gennevilliers (15h). Il sera encore question de revanche, mais dans l'autre sens...
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