Depuis le début de la semaine, des "séances de travail" ont été organisées dans le département à l'initiative d'élus locaux et en présence des associations d'aides aux migrants et des partenaires sociaux.
La secrétaire générale de la préfecture, Cécile Dindar y a rappelé "qu'il revient à l’État de prendre en charge l'hébergement des demandeurs d'asile, le versement d'une allocation mensuelle leur permettant de subvenir à leurs besoins notamment alimentaires, l'accompagnement administratif et social organisé dans leur lieu d'hébergement et leurs soins par la couverture maladie universelle."
Via un communiqué, la préfecture a également reprécisé certaines conditions pour la mise en oeuvre de ce plan de solidarité. "Les communes souhaitant participer à l'effort de solidarité peuvent proposer de mettre à disposition des logements vacants dans le parc social ou du foncier disponible. Les particuliers peuvent aussi proposer des hébergements tout en étant conscients qu'il pourra être de longue durée, mais celui-ci devra être accompagné d'une médiation associative. Un questionnaire a été remis aux maires présents à la réunion du 12 septembre à Paris et sera adressé à tous les autres. Les communes volontaires sont invitées à faire connaître leur candidature au ministère de l'intérieur et au représentant de l’État dans le département, et les particuliers au maire de la commune qui les transmettra à la préfecture."
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