Manuel Valls a de nouveau exclu mardi toute intervention terrestre française ou occidentale en Syrie, mais indiqué pour la première fois qu'une éventuelle coalition de pays voisins intervenant pour "libérer la Syrie" de l'organisation Etat islamique aurait "le soutien de la France".
"Toute intervention terrestre, c'est-à-dire toute intervention au sol de notre part ou occidentale, serait inconséquente et irréaliste", a dit le Premier ministre dans son discours à l'Assemblée nationale pour défendre l'intervention aérienne française en Syrie, répétant les propos du président François Hollande. "Mais si une coalition de pays de la région se formait pour aller libérer la Syrie de la tyrannie de (l'organisation Etat islamique) Daech, alors ces pays auraient le soutien de la France", a-t-il poursuivi.
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