Côté sportif, nous avons le sentiment que vous donnez beaucoup à certains clubs – QRM, le Oissel MRNHB, le Stade Rouennais – et peu à d'autres clubs de très haut niveau comme le SPO Rouen tennis de table. N'y aurait-il pas un deux poids-deux mesures ?
Je ne sais pas si nous donnons beaucoup. Nous sommes même en dessous de ce que font les autres grands territoires français.
Il y a une place pour un soutien mesuré, sérieux au bénéfice des grands sports collectifs. Mais la Métropole ne peut pas accompagner tous les projets. Des choix sont réalisés même si cela ne veut pas dire qu'elle ne va pas soutenir d'autres sports : nous allons soutenir le tennis de table qui monte en Pro A mais le SPO ne peut s'installer au Kindarena car cela coûterait trop cher.
"La Métropole ne peut pas accompagner tous les projets"
Si les clubs soutenus n'ont pas les résultats escomptés, votre soutien diminuera-t-il ?
Cela ne fonctionne pas ainsi. La réussite sportive n'est pas une science exacte. Nous nous investissons dans la durée sans pression à l'égard des sportifs. Nous voulons créer les conditions d'un cercle vertueux. Tous ces projets là ne vont pas tous déboucher sur la Ligue 1 mais il serait normal que l'un de ces projets, dans quelques années, contribue au rayonnement national et européen de la Métropole rouennaise.
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