La FRSEA Basse-Normandie, à l'origine du mouvement agricole devenu national, a ainsi fait parvenir en fin de journée, mercredi, un communiqué aux médias, où elle relève que "le compte n’y est pas". La fédération précise que le minsitre de l'agriculture "a répondu à une première demande en venant au-devant des éleveurs bas-normands pour écouter leur détresse, comprendre leur désarroi, ouvrir quelques pistes de réflexion", mais regrette que le plan d'urgence annoncé soit "fait pour produire des effets à court terme".
"Les agriculteurs bas-normands restent mobilisés pour faire aboutir leurs légitimes revendications : un prix décent de leurs produit qui leur assure un revenu".
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