Berlin voit "très peu de marge de manoeuvre" pour une restructuration de la dette colossale de la Grèce, une revendication essentielle d'Athènes, et est opposé à tout ce qui "diminuerait de manière significative la valeur de la dette", a affirmé vendredi un porte-parole.
Le ministre des Finances Wolfgang Schäuble entrevoit "très peu de marge de manoeuvre pour une restructuration, un +reprofiling+ ou d'autres choses de ce genre", a déclaré son porte-parole Martin Jäger vendredi à Berlin. L'Allemagne est également opposée à une décote de la dette, et à tout ce qui conduirait à "abaisser de manière significative la valeur de la dette", a-t-il précisé, alors qu'Athènes tente d'arracher un accord à ses partenaires européens sur une nouvelle aide financière et un allègement de la dette en échange de réformes.
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