Les syndicats de taxis à l'origine du mouvement national de protestation contre UberPOP ont jugé jeudi insuffisante l'interdiction de cette activité promise par le gouvernement, insistant sur la "désactivation" de l'application mobile de transports entre particuliers.
Interrogés par l'AFP, la CGT et FO, ont en outre dit hésiter à se rendre à Matignon, où ils sont invités dans l'après-midi. "On sait pas si on va y aller", a dit Karim Asnoun (CGT). "Si c'est pour rencontrer le conseiller du conseiller" du Premier ministre Manuel Valls, actuellement en déplacement à l'étranger, "moi j'en veux pas et la base encore moins".
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