Le gouvernement grec a rejeté mercredi une contre-proposition soumise par les créanciers à Athènes, comprenant surtout des souhaits du FMI, a indiqué à l'AFP une source gouvernementale grecque.
"Cette contre-proposition" qui insiste, selon Athènes, sur la hausse des recettes de la TVA et sur des coupes plus importantes dans les dépenses publiques, intervient deux heures après que le Premier ministre grec Alexis Tsipras eut déploré que le FMI n'accepte pas "les mesures compensatoires" proposées par Athènes lundi, lors d'une réunion des dirigeants des pays de la zone euro à Bruxelles, jugées alors positives par les créanciers.
A Berlin le pessimisme s'accentue avec la déclaration du le porte-parole du ministre allemand des Finances affirmant qu'il "reste un long chemin" avant que la conclusion d'un accord.
"Il ne peut y avoir une solution, que si elle est approuvée par les trois institutions", à savoir l'Union européenne, la Banque centrale européenne (BCE) et le Fonds monétaire international (FMI), a déclaré ce porte-parole Martin Jäger.
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