Mais pour les adolescents, elle peut signifier beaucoup. En 2010, ils sont 1 071, âgés de 12 à 21 ans, à s’y être rendus pour trouver réponse à des interrogations très diverses.
"Il n’y a aucune restriction", indique Patrick Genvresse, pédo-psychiatre et directeur de la Maison des adolescents. "On parle de risques suicidaires, de consommation de toxiques, et aussi de l’adolescent dans le monde numérique ou de l’alcoolisation dite festive." Cinq personnes "accueillantes" reçoivent les jeunes sans rendez-vous et les orientent vers l’un des spécialistes compétents pour les aider à résoudre leurs difficultés. En tout, une trentaine de médecins, psychologues, assistants sociaux ou psychiatres répondent gratuitement aux questions et au mal-être des adolescents, tous les après-midi du lundi au vendredi, et le samedi matin.
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