Deux ans de prison avec sursis, 150.000 euros d'amende et 2 ans d'inéligibilité ont été requis jeudi à l'encontre de l'ancien ministre de l'Intérieur Charles Pasqua, rejugé à Versailles pour "détournement de fonds publics" dans l'affaire de la Fondation d'art Hamon.
A l'encontre de l'ex-ministre André Santini, député-maire (UDI) d'Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), rejugé à ses côtés avec cinq autres prévenus, l'avocat général a réclamé deux ans de prison avec sursis, 200.000 euros d'amende et cinq ans d'inéligibilité. Ces réquisitions correspondent aux peines prononcées en première instance en 2013.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.