Les députés ont adopté mardi en première lecture par 438 voix contre 86 (et 42 abstentions) le projet de loi sur le renseignement, défendu au nom de la lutte antiterroriste par le gouvernement, mais cible de critiques sur le risque "d'une surveillance de masse".
Le texte, qui sera débattu fin mai au Sénat, définit les missions des services de renseignement (de la prévention du terrorisme à l'espionnage économique) ainsi que le régime d'autorisation et de contrôle des techniques d'espionnage (écoutes, pose de caméras ou de logiciel-espion, accès aux données de connexion, etc.).
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