Thierry Thomas n'a plus assez de trésorerie pour acheter de nouveaux veaux à engraisser : leur prix d’achat unitaire a augmenté de 80€, mais leur prix de vente a chuté.
Par sa grève de la faim, il veut attirer l'attention sur la situation catastrophique des éleveurs, qui ne fait que s'accentuer depuis 3 ans.
Pour Thierry Thomas, la filière est enchaînée, cadenassée, par les industriels … et il faut la réorganiser :
La grève de la faim d'un agriculteur ornais
L'argentanais qui campe dans sa petite caravane, stationnée devant l'entrée de l'immense abattoir, exige une table ronde pour cesser sa grève de la faim.
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