Être nommé ambassadeur, ce doit être une fierté ?
Je n'ai jamais fait ce sport pour cela. Quand on fait de la compétition, on le fait pour le plaisir du sport et pour la victoire, pas pour la reconnaissance. Mais c'est tant mieux pour moi et mon équipe, cela nous fait plaisir à tous.
Votre palmarès parle pour vous…
J'ai effectivement été cinq fois champion du monde d'endurance mais je n'ai remporté que deux fois les 24H Motonautiques, dont l'édition 2014. Le titre de champion se joue au meilleur des trois courses, les deux autres se disputant en Pologne après l'épreuve rouennaise.
Vous connaissez les autres pilotes… Vous considérez-vous comme un favori ?
C'est à peu près les mêmes pilotes que l'an passé et le niveau sera donc aussi élevé, et même un peu plus. Favoris, nous ne pensons pas l'être, c'est une étiquette que l'on veut nous coller. Nous possédons une bonne expérience et faisons partie des équipages qui peuvent gagner mais les sept autres peuvent également l'emporter. Certains bolides de la classe 2 peuvent aussi nous concurrencer.
Votre bolide a-t-il changé ?
Non, c'est absolument le même. On ne change pas une horloge qui marche !
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