Les deux élus rappellent dans un premier temps l'historique récent de l'entreprise : au moment du rachat du site par Schneider Electric, ce dernier assurait que les activités seraient maintenues, ainsi que les 300 salariés. Une promesse non tenue puisqu'un plan social a entraîné le départ de 200 salariés.
On croyait les mésaventures des salariés terminées, il n'en est rien: "Malgré les promesses faites à l'issue du PSE de maintenir et redynamiser l'activité, une menace de fermeture pèse aujourd'hui sur TPQ, faute de pouvoir accueillir la chaîne de production permettant de fournir les transformateurs commandés par ERDF", soulignent les élus qui pointent du doigt la direction de l'entreprise : "Force est de constater que les engagements pris par Schneider ne sont pas tenus. Tout laisse au contraire à penser que Schneider Electric organise la délocalisation de ses activités historiques...".
Les deux élus regrettent une "situation incompréhensible pour les salariés et les élus locaux" qui fait craindre le départ de 80 salariés supplémentaires et la fermeture définitive du site.
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