La première des deux équipes à remporter trois matchs dans ces confrontations directes sera maintenue en élite. L'autre rejoindra la D1, d'où le Hockey Club de Caen est monté la saison dernière. Les hostilité débuteront le 4 mars pour se prolonger, éventuellement, jusqu'au 19 mars.
Les Caennais ont bien cru pouvoir éviter pareille pression. Il y a quelques semaines, alors dans une excellente dynamique, ils avaient comblé une large partie de leur retard sur les play-offs, matérialisés par la douzième place de Villard. Les coups durs se sont ensuite enchaînés : deux points ont été réattribués sur tapis vert aux Villardiens, l'attaquant Charles Geslain a dû renoncer à disputer le reste de la saison en raison d'une clavicule touchée, et surtout, Caen a très mal géré la trêve de deux semaines imposée par le calendrier.
Au sortir de ce repos, les Caennais se sont sèchement inclinés à deux reprises, contre Angers vendredi 18 février (1-5) puis Briançon deux jours plus tard (6-0). « On n'y était vraiment pas, le résultat est logique, commentait le défenseur Alexis Gomane à chaud dans les Hautes-Alpes. Maintenant, il va falloir travailler dur pour préparer les play-downs. » Avant cette échéance, il restait deux rendez-vous aux Caennais, le premier mardi 22 février à domicile contre Dijon, le second samedi 26 février... à Mont-Blanc. Cette dernière confrontation revêt un double enjeu pour les deux équipes : la place au classement (Caen était devant mais avec le même nombre de points après la 24ème journée) et l'ascendant psychologique que prendra le vainqueur. « Le combat sera déjà lancé et il va être rude, promet Alexis Gomane. Il y aura pas mal d'intimidation. » Les play-downs sont affaires de guerriers.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.