La semaine dernière, les quelques 90 salariés de cette plate forme de distribution de surgelés sur tout l'ouest de la France, rejoints par les autres sites français du groupe, avaient cessé le travail sur des revendications salariales. Mais sans succès. Même si elle affiche des bénéfices, l'entreprise leur a refusé 50 euros d'augmentation mensuelle.
Ce matin, le moral dans les ateliers est très bas, explique une déléguée syndicale qui ajoute que l'entreprise préfère perdre 1 million d'euros lors d'une grève, plutôt que d'augmenter ses salariés...
Une ultime réunion de négociation annuelle des salaires doit se tenir mardi de la semaine prochaine.
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